Depuis 1986, Artline Films has produced over 250 films (documentaries, fiction films, feature films) pour les principales chaines françaises et de nombreux diffuseurs et partenaires étrangers.
Son expérience lui a permis de faire coïncider pertinence éditoriale et production de programmes audiovisuels dans des formes allant du documentaire de création au film d’investigation, Many productions garnered prestigious international awards..

Awards and Distinctions

Nomination to the French producer's Award 2012 2012
Artline Films has been nominated by the Procirep French producer Award 2012 in the documentary category, among six production companies.
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En 1968 une vague déferle sur la planète. En fait, cette vague a commencé à se former avant, in 1965, United States, avec les luttes pour les droits civiques et les premiers mouvements étudiants contre la guerre du Vietnam. Et elle se brise quelques années après, in 1975, dans la clameur de mouvements en tous genres ou dans le sang de la lutte armée.
La jeunesse, partout dans le monde, se lève contre la vie qu’on lui propose. Social issues, ., culture, le refus est total. Le monde qui s’est recréé après la Seconde Guerre Mondiale tourne trop lentement.

La revendication : rien de moins qu’une nouvelle société. Les moyens : une contestation endémique et protéiforme, portée par une nouvelle génération très critique à l’égard des sociétés établies, considérées comme coloniales et autoritaires, figées et hiérarchisées, liberticides et moralisatrices. Le résultat : un monde en ébullition, en lutte, en guerre et en résistance.

Cinquante ans après, beaucoup de questions se posent.
Entre les évocations nostalgiques d’anciens combattants et les attaques trop idéologiques, comment analyser, today, ce mouvement qui a marqué un tournant dans l’histoire ? Quels pourraient en être l’héritage, les résonances ? Une chose est sûre, le phénomène a été global. Rome, San Francisco, Paris, Tokyo, Berlin, Sao Paolo, Alger, Londres…: les soulèvements qui ont envahi les rues des grandes villes sont innombrables, à tel point que le petit mai parisien semble presque anecdotique. C’est un moment de basculement planétaire que cette série propose de revisiter. Imprégnée de la fièvre de la décennie, elle raconte la course folle de ces années où tout semblait possible, dans l’euphorie et la violence, mais dont l’héritage divise toujours autant.