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C’est l’histoire d’un voyage de l’autre côté du miroir des « Affaires », dans le monde de l’entremise et de l’argent occulte. Pendant dix-huit mois, Denis Robert et Philippe Harel ont rencontré des « brokers », des blanchisseurs d’argent, des juges impuissants, des hommes politiques aux propos vagues, des intermédiaires discrets, des pourfendeurs de la corruption. Ils en rapportent l’image d’un monde infiniment complexe, où tout est permis parce que plus rien ne peut être interdit.
Les « Affaires » sont le symptôme d’un changement si violent qu’il nous a rendu aveugles. Journal intime des affaires en cours est le document-témoin de la révolution financière. La chronique subversive d’une époque où la démocratie devient un exercice de plus en plus dérisoire.
Denis Robert est journaliste et écrivain. Il est notamment l’auteur de Pendant les « Affaires », les affaires continuent…, La justice ou le chaos, Je ferai un malheur et, avec René Taesch, Portrait de groupe avant démolition.
Philippe Harel est cinéaste. Il est notamment l’auteur de Un été sans histoire, L’histoire du garçon qui voulait qu’on l’embrasse, Les randonneurs, La femme défendue.
Presse-
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« Aussi sombre soit le tableau (…) il témoigne quand même d’une croyance. Celle que le cinéma peut encore quelque chose, qu’il à un rôle social à jouer, qu’il demeure un outil de résistance, une arme politique. »
Cahiers du Cinéma« Les journalistes que Denis Robert interroge, rendus impuissants par le financement de la presse et sa dépendance vis-à-vis des annonceurs ou des multinationales, sont fatigués, dégoûtes (…) Journal intime des affaires en cours brosse le portrait de Denis Robert lui-même et de ses pairs, admirables Don Quichotte des temps modernes. »
Les Inrockuptibles« Ce film donne envie de réagir, d’en savoir plus. »
Télérama« Journal intime vaut bien toutes les fictions américaines sur les complots fin de siècle et les intrusions d’outre-monde. (…) Une incitation à la vigilance et à une citoyenneté accrue. »
Libération« Le film Journal intime des affaires en cours met à jour les rouages d’un système mafieux qui gangrène l’Europe et empoisonne la vie démocratique de notre pays. Une enquête sans concession, édifiante et salutaire. »
Le Figaro Magazine« Ce Journal intime des affaires en cours, lucide mais jamais donneur de leçons, se révèle furieusement d’actualité. Pas franchement optimiste, mais résolument passionnant. »
Le Nouvel Economiste« Aussi sombre soit le tableau (…) il témoigne quand même d’une croyance. Celle que le cinéma peut encore quelque chose, qu’il à un rôle social à jouer, qu’il demeure un outil de résistance, une arme politique. »
Cahiers du Cinéma« Les journalistes que Denis Robert interroge, rendus impuissants par le financement de la presse et sa dépendance vis-à-vis des annonceurs ou des multinationales, sont fatigués, dégoûtes (…) Journal intime des affaires en cours brosse le portrait de Denis Robert lui-même et de ses pairs, admirables Don Quichotte des temps modernes. »
Les Inrockuptibles« Ce film donne envie de réagir, d’en savoir plus. »
Télérama« Journal intime vaut bien toutes les fictions américaines sur les complots fin de siècle et les intrusions d’outre-monde. (…) Une incitation à la vigilance et à une citoyenneté accrue. »
Libération« Le film Journal intime des affaires en cours met à jour les rouages d’un système mafieux qui gangrène l’Europe et empoisonne la vie démocratique de notre pays. Une enquête sans concession, édifiante et salutaire. »
Le Figaro Magazine« Ce Journal intime des affaires en cours, lucide mais jamais donneur de leçons, se révèle furieusement d’actualité. Pas franchement optimiste, mais résolument passionnant. »
Le Nouvel Economiste
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Journal intime des affaires en cours
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