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Tel un journal de voyage, « Wild Blue » est une succession de fragments de vie.
Jalonné de voix de femmes, ce film accueille enfants, arbres et vents comme autant de motifs musicaux.
De cette variation naît l’évocation d’un monde meurtri par l’horreur civile ou religieuse, approché au gré de gestes, de silences, de regards et de chants.
Ces notes à quelques voix composent au fil du temps un simple poème de l’écoute.
« A le voir aujourd’hui, il me semble qu’il existe dans le film une tension permanente entre l’évocation d’un monde traversé par d’extrêmes
violences nées de multiples intolérances, religieuses, politiques ou autres, et une beauté également forte, simultanée, de ce même monde,
malgré l’horreur dont il est porteur.
Je sais que ça peut paraître choquant de dire ça, mais cette simultanéité crée une tension de vie. Je ne veux pas dire que la beauté est rédemptrice. Je dis simplement qu’elle peut aider à vivre. »
Presse-
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« Les nouvelles du monde tel qu’il va, dans l’ordre que l’on sait. Thierry Knauff capte les signes des croissements entre barbarie d’hier et barbarie d’aujourd’hui avec une détermination austère, certes, mais louable. »
Libération« Un poème philosophique en noir et blanc composé par Thierry Knauff, qui se situe entre deux genres, ni vraiment documentaire, ni réellement fiction. (…) Son but : témoigner de l’imprévisible, fragile et terrible beauté du monde. »
Le Monde« Un poème visuel et sonore sur les deux faces (indissociables ?) du monde : sa violence récurrente, sa beauté impérissable. Sur de magnifiques images en noir et blanc, des voix de femmes monocordes racontent fantasmes, tortures, massacres, autant de pans honteux de l’histoire de l’humanité. »
Télérama« Une succession de séquences lentes et poétiques, des voix de femmes qui racontent leur histoire, de longs passages sans paroles où les sons prennent toute leur importance et semblent sculpter le temps. »
L’Express« Somptuosité du noir et blanc, impression de maîtrise, explorations formelles propres à éveiller des sensations inédites chez le spectateur. (…) Ce film qui ne ressemble à rien d’autre est une œuvre magistrale, ouverte à tous, inépuisable. »
Bref« Orfèvre du noir et blanc et génie de la conception sonore, Thierry Knauff nous livre ici son premier long métrage. (…) La folie humaine se décline ici méthodiquement et souvent symboliquement, atteignant parfois une abstraction qui fait plus sûrement mouche que n’importe quel discours politique. »
Repérages« Les nouvelles du monde tel qu’il va, dans l’ordre que l’on sait. Thierry Knauff capte les signes des croissements entre barbarie d’hier et barbarie d’aujourd’hui avec une détermination austère, certes, mais louable. »
Libération« Un poème philosophique en noir et blanc composé par Thierry Knauff, qui se situe entre deux genres, ni vraiment documentaire, ni réellement fiction. (…) Son but : témoigner de l’imprévisible, fragile et terrible beauté du monde. »
Le Monde« Un poème visuel et sonore sur les deux faces (indissociables ?) du monde : sa violence récurrente, sa beauté impérissable. Sur de magnifiques images en noir et blanc, des voix de femmes monocordes racontent fantasmes, tortures, massacres, autant de pans honteux de l’histoire de l’humanité. »
Télérama« Une succession de séquences lentes et poétiques, des voix de femmes qui racontent leur histoire, de longs passages sans paroles où les sons prennent toute leur importance et semblent sculpter le temps. »
L’Express« Somptuosité du noir et blanc, impression de maîtrise, explorations formelles propres à éveiller des sensations inédites chez le spectateur. (…) Ce film qui ne ressemble à rien d’autre est une œuvre magistrale, ouverte à tous, inépuisable. »
Bref« Orfèvre du noir et blanc et génie de la conception sonore, Thierry Knauff nous livre ici son premier long métrage. (…) La folie humaine se décline ici méthodiquement et souvent symboliquement, atteignant parfois une abstraction qui fait plus sûrement mouche que n’importe quel discours politique. »
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