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Est-ce qu’il est possible de simultanément faire un bénéfice et conduire une activité moralement ? Cette question devient de plus en plus importante pour des sociétés Occidentales, particulièrement quand leur production a lieu dans les pays les plus pauvres.
Quand le film commence, la société à l’origine finlandaise Nokia vient d’embaucher Hanna Kaskinen comme « spécialiste moral et environnemental, » pour propager le concept d’entreprise durable dans la société. Apparemment, les managers de Nokia sont encore peu familier avec le phénomène. Le cinéaste Balmès suit Kaskinen et son conseiller anglais en Chine, où ils visitent et inspectent un certain nombre de fournisseurs Nokia.
Le style de cinéma direct du cinéaste enregistre impitoyablement le malaise parmi les managers britanniques, qui marchent la corde raide entre bénéfice et loi. La franchise initiale des cadres change quand ils découvrent que le film n’est pas seulement destiné pour une utilisation interne. À ce moment-là, nous sommes déjà hantés par les images de filles d’usine sur une chaîne de montage, assemblant des adaptateurs pour moins que le salaire minimum exigé.
Presse-
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« Sélectionné par une quarantaine de festivals à travers le monde, cet excellent documentaire est le résultat d’un travail (…) de plus de trois ans. »
Le Figaro« Le documentariste ne démontre pas, il montre. Il n’est pas militant, simplement pertinent. Et si son film ne vilipende ni n’encense Nokia, il en dit long sur la complexité de la mondialisation et des fameuses délocalisations. (… ) Thomas Balmès, avec son air de ne pas y toucher, compose un implacable document sur un monde furieusement moderne. »
Télérama« Un document implacable sur l’entreprise moderne. »
L’Humanité« Edifiant »
Les Inrockuptibles« C’est dans les coulisses de Nokia que nous entraîne le documentariste Thomas Balmès, ethnologue iconoclaste. (…) Il faut le voir. »
Libération« Thomas Balmès applique à Nokia son regard d’anthropologue. (…) Dans l’histoire simple très joliment racontée par Hanna la curieuse, Louise la pragmatique, Richard le directeur de l’usine, les cadres chinois (jolie brochette de managers !) et les jeunes ouvrières, il y a toute la complexité des rapports Nord-Sud.»
Le Monde Télévision« Fascinant! »
The Financial Times« Sélectionné par une quarantaine de festivals à travers le monde, cet excellent documentaire est le résultat d’un travail (…) de plus de trois ans. »
Le Figaro« Le documentariste ne démontre pas, il montre. Il n’est pas militant, simplement pertinent. Et si son film ne vilipende ni n’encense Nokia, il en dit long sur la complexité de la mondialisation et des fameuses délocalisations. (… ) Thomas Balmès, avec son air de ne pas y toucher, compose un implacable document sur un monde furieusement moderne. »
Télérama« Un document implacable sur l’entreprise moderne. »
L’Humanité« Edifiant »
Les Inrockuptibles« C’est dans les coulisses de Nokia que nous entraîne le documentariste Thomas Balmès, ethnologue iconoclaste. (…) Il faut le voir. »
Libération« Thomas Balmès applique à Nokia son regard d’anthropologue. (…) Dans l’histoire simple très joliment racontée par Hanna la curieuse, Louise la pragmatique, Richard le directeur de l’usine, les cadres chinois (jolie brochette de managers !) et les jeunes ouvrières, il y a toute la complexité des rapports Nord-Sud.»
Le Monde Télévision« Fascinant! »
The Financial Times
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